Julie lui offre un harem… pour une nuit
Après cette soirée où dix hommes m’ont comblée, j’ai su qu’il était temps pour moi de rendre à Maxime le plus beau des cadeaux libertins : son fantasme d’être le seul homme au centre d’un groupe de femmes.
Une surprise organisée par Julie
Je me suis connectée à AKOKY avec une idée très précise : trouver trois à cinq femmes libertines, complices, bienveillantes, prêtes à jouer le jeu du triolisme inversé. La réponse ne s’est pas fait attendre.
Un petit appartement privé à Paris, une ambiance tamisée, du champagne, des bougies, des femmes magnifiques : une brune élancée au regard de feu, une métisse aux formes généreuses, une rousse tatouée au sourire carnassier, et moi.
Maxime pensait qu’on allait dîner en tête-à-tête.
Quand il est entré, il a compris. Il m’a regardée, incrédule.
— Tu es sérieuse ?
— Ce soir, tu es le roi. Elles sont là pour toi. Et moi aussi.
Une offrande de plaisirs
D’abord intimidé, Maxime s’est laissé guider. Les filles ont formé un cercle autour de lui. Chacune a pris le temps de l’explorer, de le caresser, de l’embrasser. Il s’est laissé faire, yeux mi-clos, corps frissonnant.
Je me suis assise en retrait, nue, excitée à en trembler, en le voyant adoré, caressé, adoré encore. C’était lui, cette fois, qui brillait.
Puis je l’ai rejoint, pour le chevaucher au milieu de ce harem, pendant qu’une autre suçait ses tétons, une autre ses doigts, et la dernière sa langue.
Un moment de fusion
Quand il a joui, c’était entre mes cuisses, en me regardant, la main d’une autre posée sur son torse, nos regards en feu, nos cœurs battants.
— Je t’aime plus que jamais, m’a-t-il murmuré.
— Moi aussi. Merci d’avoir été mon roi ce soir.




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